Le blog d' Armelle BOULANGER

Venez découvrir le livre "Grossir à en mourrir" de Paskal CARLIER dans la catégorie "Religion/Esotérisme" :


Ce livre est inédit et disponible sur le catalogue "Rezolib" de REZOBOOK.

Résumé "Rezolib" :

" Lukas Desjeans a tout pour être heureux .
Tout se passe bien pour lui, jusqu’au jour où il licencie un de ses employés pour cause d’obésité. Là, une femme mystérieuse lui promet qu’il va se mettre à grossir également et finira par en mourir. La vie de Lukas Desjeans va alors basculer dans l’angoisse. Il va prendre du poids sans pouvoir rien contrôler. Est-il malade, fou, ou envoûté ? Telle sera la question de ce roman à suspense.

Témoignage de lecteur :
Grossir à en mourir de Paskal Carlier, le titre pourrait faire penser à un énième livre qui vous aide à retrouver la ligne juste avant les vacances, qui vous propose un éventail de solutions pour ne pas être victime de sa prise de poids ! Non ! Détrompez-vous ! C’est un véritable roman à suspense que l’auteur nous propose. Ce n’est pas Lukas Desjeans qui souffre, c’est moi, lecteur, impuissant à lui venir en aide ! Qu’est-ce que je ferais à sa place ? Comment rendre sympathique un directeur qui renvoie un de ses employés parce qu’il est trop gros, voilà ! Paskal Carlier joue avec nos nerfs. Ce personnage, décidément, n’a rien de commun avec la plupart de ceux que nous rencontrons au hasard de nos lectures. Il est démuni. Démuni comme nous pourrions l’être tous un jour, parce qu’on ne comprend pas ce qui nous arrive ! Plus de 300 pages qui se lisent sans lever le nez. On est pris par l’enjeu, par la solitude de l’homme, du personnage. Quand quelqu’un décide de votre destin, quand il prend votre liberté de choisir (de manger trop de bonnes choses, de s’enivrer) vous n’avez plus envie de vivre ! Pessimiste le roman de P. Carlier ? Je ne pense pas ! Réaliste plutôt. Et l’humour n’est pas absent ! J’ai aimé ce roman et je le conseille vivement à tous, même si vous n’avez pas de problème de poids ! D’ailleurs qui vous dit que vous ne pourriez pas en avoir demain ? "