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11 novembre 2014 2 11 /11 /novembre /2014 11:14

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11 novembre 2014 2 11 /11 /novembre /2014 11:08

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14 août 2010 6 14 /08 /août /2010 19:55
REZOBOOK : Elle avait grandi de Yves BRARD

Venez découvrir le livre "Elle avait grandi" de Yves BRARD dans la catégorie "Roman" :

REZOBOOK : Elle avait grandi de Yves BRARD

Ce livre est disponible sur le catalogue "Rezolib" de REZOBOOK.

Résumé "Rezolib" :

Synopsis
Après vingt ans de mariage, on ne compte plus, on se dit que c’est pour toujours. Brigitte et Bertrand incarnent aux yeux des autres un couple exemplaire. Consultant en vue, il brille en société, elle est devenue par la force des choses la femme de … Et soudain, l’équilibre est rompu. Elle, l’autre, celle qu’il a vu naître et grandir, devenue femme, vient brouiller les cartes. Ils se regardent tout à coup différemment et embarquent dans une croisade d’amour qui fait vaciller des vies dont les fondations semblaient indestructibles. En passant d'un regard à l'autre, tour à tour Elles et Lui, l’auteur nous invite à vivre cette passion de l'intérieur. Un chemin chaotique, où le désir exacerbé est omniprésent, où les cœurs s'écorchent aux pierres coupantes de la jalousie, où les mots tour à tour caressent ou cinglent, où chacun erre à la recherche du sens de sa vie … Ce roman sans hypocrisie ni complaisance, nous invite, à méditer sur la fidélité, la jalousie, l'amour, le désir, la passion, l'âge, la mort et le temps qui passe en nous faisant partager les émotions des différents protagonistes, le tout s'inscrivant dans une vision quelque peu désabusée de notre société.

Extrait

Chaque fois nous étions émus. Tout y contribuait : la salle immaculLui J’ai encore, imprégné dans la rétine, la chaleur incandescente de ton dernier regard, cueilli au détour du rétroviseur de ta Mini Cooper, dont tu as fait feuler une dernière fois le moteur avant de t’éloigner de moi, comme un animal pris au piège hurlant sa souffrance et son désar-roi. J’ai encore dans la tête ce dernier coup de klaxon rauque, sourd, profond, qui résonne comme un ultime au revoir, tentative maladroite pour couper court à ce malaise dont tu sens qu’il m’imprègne déjà. Tu sais qu’il va gonfler, telle une rivière en crue, jusqu’à charrier sur son passage les quelques brindilles de lucidité qui s’essayent à me garder la tête hors de l’eau. Et le flot de cette jalousie dévorante va déferler inexorablement durant ton absence, sans la digue de tes mots pour le contenir. Cet appel déchirant, lancé au cœur de la nuit, a réveillé quelques mauvais coucheurs ; et les persiennes aux aguets se sont ouvertes sur le sommeil dérangé. Des jurons dérisoires ont été proférés, exutoires à l’insomnie chronique qui a pris pension chez certains, dont la conscience ne pourra plus jamais être en paix. Comme la nôtre. Yann, toujours aussi frileux, transpirant l’inquiétude comme une seconde peau, s’est empressé de refermer sa vitre, terrifié sans doute à l’idée qu’un virus puisse pénétrer dans l’habitacle. Je suis ce virus, mais il l’ignore. Le ver est déjà dans le fruit, et même si votre voiture s’éloigne inexorablement, j’ai germé en toi. Si profondément qu’il faudrait te saigner comme un bœuf à l’abattoir pour espérer m’extirper, en patientant jusqu’à ce que le dernier globule s’égoutte et t’assèche enfin de moi. Ne resteraient que des caillots de regrets, qui noirciraient avec le temps… Elle Je roule jusqu’à l’aéroport, enveloppée dans mon cocon de nostalgie, à l’abri de son humeur faussement joyeuse, sourde à ses appels muets de complicité, ne lui donnant aucune prise pour commenter le soulagement qui l’envahit lorsqu’il s’éloigne de toi. Non pas qu’il ait le moindre doute – il faudrait pour cela qu’il fasse preuve d’imagination – , mais parce qu’à ta manière, tu lui renvoies en permanence ce qu’il n’est pas. Il faut dire que ton humour de plus en plus caustique en irrite plus d’un, et qu’il faut te connaître comme nous (elle et moi) pour deviner, derrière ces sarcasmes au vitriol, une blessure qui s’élargit au fil des années. Ces années qui te vont si bien, qui te donnent une assurance qui transpire sur moi, un charisme, une séduction qui me chamboulent, me laissant souvent anéantie, vide, n’existant pour quelques secondes que par toi. Mais c’est avec mon petit mari que je pars deux semaines aux Maldives, orpheline de toi, pour un simulacre d’amour où la mer et le soleil m’aideront à digérer la pilule. À tout prendre, c’est préférable, pour se supporter et jouer la comédie, à un deux-pièces à Grigny avec vue sur les voisins et la cage d’escalier ! La détresse a ses degrés, et la réussite sociale de mes parents m’a habituée à un confort que je compte bien perpétuer. Je roule nerveusement, poussant les rapports jusqu’à flirter avec le rouge du compte-tours, me délectant de le voir se recroqueviller sur son siège, la main exsangue à force de serrer convulsivement la poignée de la portière. Mais il n’ose rien dire, trop timoré en cela comme en tout, et manquant de tripes pour entamer une joute verbale dont il sait qu’il ne sortira pas vainqueur. Mon chéri, pourquoi n’est-ce pas toi qui sièges là, à mes côtés ? Ta main serpentine à la douceur veloutée louvoierait doucement le long de ma cuisse, pour venir s’échouer au rivage de ma petite culotte encore sage pour quelques secondes. Oubliant bientôt toute pudeur, elle s’écarterait ostensiblement pour toi et inviterait tes doigts à se couler subrepticement dans mon marécage de blés mûrs, jusqu’à déclencher, d’un index fureteur, une ondée qui me laisserait trempée de toi. Les yeux rivés sur la route qui défile au rythme de tes caresses imaginaires sur ma peau, je frémis de plaisir rien que d’y penser. C’est comme toujours avec toi, la magie du désir qui me transporte. Tu joues les solistes prodiges en pianotant de tes doigts agiles sur mes touches sensibles et je m’applique, comme une élève studieuse, à suivre ta partition, le corps tendu comme les cordes d’un violon, laissant ton archet vibrer en moi jusqu’à ce que jaillisse d’une même voix, la mélodie de notre plaisir. Flûte ! Je suis partie tellement loin que je viens de rater la sortie vers l’aéroport. Yann maugrée d’un ton boudeur : – Tu pourrais te concentrer sur ce que tu as à faire plutôt que de rêvasser. Je renonce à faire écho à sa remarque pour ne pas perdre le fil de mon rêve, que je vais pouvoir prolonger encore quelques minutes grâce à ce petit détour impromptu...

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14 août 2010 6 14 /08 /août /2010 19:55
REZOBOOK : La dernière pâque de Yolande STERN

Venez découvrir le livre "La dernière pâque" de Yolande STERN dans la catégorie "Roman" :

REZOBOOK : La dernière pâque de Yolande STERN

Ce livre est disponible sur le catalogue "Rezolib" de REZOBOOK.

Résumé "Rezolib" :

Synopsis
Pâque juive bien entendu, Pessah, cette dernière fête, ces dernières fêtes avant le cataclysme, l'impensable shoah. Récit nostalgique et drôle, récit d'une tranche de vie dans les années 20-30 - lorsque l'émigration russo-polonaise battait son plein. De Dubienka sur la frontière ukraino-polonaise, de nombreuses familles juives émigrèrent vers la France et l’Amérique. La famille d’Hershko Sztern prit ce courant qui menait vers l’ouest dans un espoir de liberté…

Extrait

Chaque fois nous étions émus. Tout y contribuait : la salle immaculée, l’argenterie et surtout le chandelier à sept branches, dont seules les bougies éclairaient la pièce. Papa se plaçait à côté de sa chaise, mon frère à droite. Maman à l’autre bout de la table, dans sa plus belle robe, nous apparaissait si jolie. Alors j’apportais la cuvette et versai l’eau sur les mains de mon frère et de Papa tandis qu’ils entonnaient les prières. Puis ils s’essuyaient les mains et nous pouvions nous asseoir. Mon père coupait un morceau de pain, le trempait dans le sel, commençait une prière, puis le passait à mon frère qui continuait cette prière, puis venait notre tour… » baruch ata Adonaï elohenou… » c’est tout ce dont je me souviens. Pis le rite se poursuivait avec les herbes amères.

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14 août 2010 6 14 /08 /août /2010 19:55
REZOBOOK : La mémoire embaumée de Françoise BOIXIERE

Venez découvrir le livre "La mémoire embaumée" de Françoise BOIXIERE dans la catégorie "Roman" :

REZOBOOK : La mémoire embaumée de Françoise BOIXIERE

Ce livre est disponible sur le catalogue "Rezolib" de REZOBOOK.

Résumé "Rezolib" :

Synopsis
Dans ce livre, l'auteur nous entraîne 3000 ans en arrière, dans le lieu le plus protégé du Musée du Caire, la salle des momies. Une reine sans nom, de la 20ème dynastie, celle des Ramsès, aveuglée par la lumière brutale d'une torche électrique braquée sur elle par un gardien de musée, ouvre soudain les yeux. A la suite d'un groupe de touristes auquel elle finit par s'attacher, la souveraine dérangée dans son sommeil va redécouvrir son pays tel qu'il est devenu aujourd'hui. Au fil du Nil, depuis les temples de Louxor jusqu'aux géants d'Abou Simbel, en passant par la Vallée des Rois, les rues grouillantes et colorées d'Edfou, les matins sillonnés d'oiseaux du pays des Nubiens, elle laisse parler ses émotions, ses révoltes, son étonnement et ses souvenirs. Son voyage trouvera son dénouement au Caire, ville de contrastes hérissée par la grisaille des immeubles inachevés, où l'attendent les Pyramides et les trésors du musée.

Extrait

Balbutiements poétiques d’une belle au musée dormant Il était une fois une reine allongée dans un cercueil de verre, au musée du Caire. Sa beauté embaumée pour l’éternité semble figée. Immobile, elle fixe une nuit qu’elle seule peut comprendre. A quoi pense-t-elle ? Est-elle morte ou en vie ? Pendant trois millénaires, elle a dormi au creux d’un rocher protégé par le désert. Son errance était sereine. Si elle croisait des ombres, elle les voyait à peine. Elle se contentait de suivre la course du soleil, du scarabée levant au bélier couchant. Mais un jour, elle fut délogée de son abri. On s’extasia sur son parfait état de conservation et on l’enferma dans ce cercueil de verre, au cœur de cette ville tentaculaire, qu’elle n’a jamais connue. Des hommes étranges, au langage et aux coutumes mystérieux, ont défilé à ses pieds. Soudain aveuglée par la lumière d’une lampe intempestive et un flot de pensées longtemps oubliées, revenu des abysses d’une nuit trop profonde, elle éprouve une intense souffrance : celle de la conscience brutalement sollicitée et de la renaissance imposée, après la paix du grand sommeil. Et sa voix nous parvient à travers les âges, à travers l’éclat intact de son regard incrusté. Le réveil J’ai si mal. Mes yeux sont dessillés par un soleil impitoyable. Son feu m’anéantit. Je n’ai pas voulu renaître, je ne sais pas où je suis. Je vois des ombres m’entourer, Familières et différentes. Mais il me semble reconnaître des voix émergées du passé. Elles ont envahi ma nuit, elles ont investi mon être, m’ont parlé sans répit. Mon incertitude est totale. Je me sens naufragée et si seule. « Cet ordre universel, voué à l’éternité, semblait le seul possible. Et pourtant, il s’est éteint. Les dieux ont fui l’Egypte et les pharaons n’ont plus lieu d’être. Il ne reste que des tombeaux éventrés, des momies arrachées à leur repos, des temples et des pyramides fermés sur leurs secrets, mais dont les ombres fascinent encore comme une évidence perdue. D’autres civilisations, des religions nouvelles sont nées et ont grandi sur nos sables et nos pierres vivantes sans que les hommes disparaissent. L’harmonie, les règles et les rituels sont simplement différents et je ne saurais dire s’ils sont meilleurs ou moins bons que les nôtres... »

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14 août 2010 6 14 /08 /août /2010 19:55
REZOBOOK : Le Troisième Oeil de Xavier PHILIPONET

Venez découvrir le livre "Le Troisième Oeil" de Xavier PHILIPONET dans la catégorie "Roman" :

REZOBOOK : Le Troisième Oeil de Xavier PHILIPONET

Ce livre est disponible sur le catalogue "Rezolib" de REZOBOOK.

Résumé "Rezolib" :

Synopsis
" Bien qu’il le nie, l’univers spirituel de Joël Joffre descend de Platon, du christianisme et des doctrines de saint Augustin. Comme ce dernier, misanthrope – le nouveau-né étant déjà un vil pécheur –, méprisant le monde, il considère sa ligne de pensée « culpabilisante » comme exclusive. Discriminative, sa logique est perpétuellement initiatrice de nouvelles guerres « saintes », reflétant deux mille ans d’histoire et de pensées nihilistes occidentales, imbibant les idéologies modernes dont tant d’esprits ont été les enfants sacrés, chasseurs d’impies, antisémites, dépressifs et autres croisés…" « Le Troisième Oeil » est un récit atypique orchestré par de nombreux changements de genres et de situations, dévoilant différentes sensibilités et facettes de l’auteur.

Extrait

" La pénombre se dissipait lentement sous le mausolée du jour. Peu à peu le brouillard qui s’immisçait entre les mondes se découvrait en dansant, trouvant aux cieux plus d’espace pour se confondre. C’est d’une montagne qu’il contemplait la plaine. En son sein, par les minarets qui s’étiraient vers l’éther, une cité d’Orient, le « Visage de la Terre », la mégalopole musulmane Samarcande… Les muezzins de la ville s’accordaient de leurs appels à célébrer le jour ; c’était la première prière, la prière de as-subh. Notre poète descendit à la rencontre de son rêve… Celui-ci le menait dans les entrailles toutes extatiques de ses plus intimes désirs. Dévalant vers la vallée, se rapprochant de la sainte ville, il devina de suite à son cœur l’époque. Il ne se pouvait qu’une seule destinée pour se retrouver ici, flirtant avec l’Orient dans cette capitale millénaire, celle de la poésie. Rien ne pouvait être plus sûr que la présence du maître. Le mathématicien, le géomètre, l’astronome et le poète se trouvaient là à siroter le jour dans la même coupe. La même bouche recevait sa dernière fiole de sang dionysiaque. N’avait-il pas dit : « Lève-toi, nous avons l’éternité pour dormir » ? Oui, au cœur de ces bâtisses demeurait au onzième siècle le savant ivre et intègre, l’unique Omar Khayyâm !"

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8 août 2010 7 08 /08 /août /2010 09:15
REZOBOOK : Le Servan de Annie MURAT

Venez découvrir le livre "Le Servan" de Annie MURAT dans la catégorie "Roman" :

REZOBOOK : Le Servan de Annie MURAT

Ce livre est disponible sur le catalogue "Rezolib" de REZOBOOK.

Résumé "Rezolib" :

Synopsis
Julien n’a pas été assassiné, et pourtant, sa mort est inexplicable. Aussitôt, on accuse sa jeune veuve, une étrangère, et la vie de celle-ci va devenir un enfer.

Dans l’ombre, quelqu’un a décidé de la détruire. Pourquoi ?

Quand le jeune Pierrot va essayer de lui venir en aide, ce sera pire encore. On parlera sorcellerie, en-voûtement... On invoquera le Ser-van, cet esprit maléfique du fol-klore savoyard. En plein XXème siècle, dans une station de sport d’hiver !

Une femme, irréductible, malgré la haine de tout un village et les sirè-nes des promoteurs.


Extrait

Le médecin a dit :
– C’est impossible !
Pas plus. Et la femme :
– Il n’est pas mort, alors ?
Morts, ses yeux à elle l’étaient. Des yeux comme en peignent les enfants, sans profondeur, sans nuances, sans rien d’autre que du bleu, le plus pâle, le plus immatériel que cet homme ait jamais vu. Et tout médecin qu’il est, il a frissonné.
– Si, madame, il est mort.
En remontant dans sa voiture, il a jeté sa serviette de cuir noir sur le siège arrière. Il a mis le moteur en route, somnambule. Il a levé les yeux. Elle était là, penchée sur lui, le visage à moitié caché derrière une mèche de cheveux, pâle, sérieux, indéchiffrable.
– Merci docteur.
Puis elle n’a plus rien dit. Elle est restée là, comme une pierre, à le regarder s’embrouiller dans ses manœuvres.

*

Il fait une chaleur anormale à cette altitude, dans ce pays-là, de cimes, de glaces éternelles, de gentianes et de myrtilles. Une chaleur de fourneau.
Et c’est par cette chaleur, de nuit comme de jour, sans répit, sans espoir de fraîcheur vespérale, qu’un homme est mort dans son lit. Le beau Julien. Un homme jeune encore, solide, sanguin, infatigable aux champs, à la chasse ; le verbe haut, orgueilleux, sûr de lui et de sa force, le plus bel homme du village.
Il a eu trente ans l’année dernière. Paysan comme son père et ses ancêtres, pauvres ou riches selon le bon vouloir du printemps, des pluies d’août, du soleil, du ventre des vaches, du prix du pain, du bois, du lait. Un homme d’ici, Julien, jamais sorti de sa vallée, sauf pour le service militaire aux chasseurs alpins, en compagnie d’autres montagnards comme lui, issus de vallées semblables, ni pauvres, ni riches. Julien vivait chez son père, à la ferme. Sa mère était morte quand il avait dix ans. Le père commandait ; Julien trouvait cela normal ; il travaillait dur et sans souci.
Puis le village est devenu une station de sports d’hiver et on lui a proposé un emploi sur les installations de ski. Il a accepté, bien content.
Depuis, tous les hivers, il travaillait là-haut, dans le froid, brûlé de soleil. Il ne souffrait ni du froid ni du vent, au contraire, il aimait bien. C’était un rude gaillard, Julien. Et il est mort dans son lit, cette nuit, par cette chaleur...

*

Elle ne cherchait pas les hommes, mais ils étaient toujours sur son chemin ; et toujours ils décidaient de ce qu’elle devait ou ne devait pas faire. Toujours elle devait lutter contre leur condescendance, leur autorité.
Elle faisait semblant de céder à cette autorité pour préserver, enfouie et muselée parfois, son essentielle liberté, celle qu’ils ne pouvaient atteindre, parce qu’ils n’en soupçonnaient pas l’existence. Elle cédait, comme cède la branche de saule. Et elle les méprisait chaque fois davantage, non de la soumettre, mais d’ignorer leur propre défaite.
Julien s’était comporté comme les autres ; elle avait agi comme d’habitude. Et cela avait été le début.

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25 juillet 2010 7 25 /07 /juillet /2010 10:50
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Cette liste n'est pas exhaustive et je vous invite à en voir plus sur le site TheBookEdition.

Bonne lecture !

Cordiales salutations,
Armelle BOULANGER (auteur de
"Lettre à un ami en souffrance spirituelle")

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25 juillet 2010 7 25 /07 /juillet /2010 10:30

Bonjour chers lectrices et lecteurs,

J'ai l'honneur de vous faire part de nouveaux ouvrages disponibles sur Internet chez l'imprimeur en ligne TheBookEdition :

Catalogue d'auteurs talentueux chez TheBookEdition

 

CATALOGUE D'AUTEURS TALENTUEUX CHEZ THEBOOKEDITION

Catalogue d'auteurs talentueux chez TheBookEdition
Cette liste n'est pas exhaustive et je vous invite à en voir plus sur le site TheBookEdition.

Bonne lecture !

Cordiales salutations,
Armelle BOULANGER (auteur de
"Lettre à un ami en souffrance spirituelle")

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20 mars 2010 6 20 /03 /mars /2010 11:15
Le profil Facebook de Armelle Boulanger

Bonjour, ci-dessus vous trouverez mon badge FACEBOOK !

Je vous souhaite une très bonne journée :)

Votre dévouée Armelle BOULANGER

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Présentation

  • : Le blog d' Armelle BOULANGER
  • : Mon blog parle entre autre de mon premier livre "Lettre à un ami en souffrance spirituelle" qui a pour thèmes principaux le développement personnel, la spiritualité et l'ésotérisme
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